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Bilan d'été: Ce que j'emporte avec moi pour la suite

  • Photo du rédacteur: BonHer
    BonHer
  • 21 août
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 23 août

Chaque année, avant l’été, on nous répète qu’il faut profiter, relâcher, lâcher prise, ralentir.Sur le papier, ça paraît simple. Dans la vraie vie… beaucoup moins.

En tant que maman, entrepreneuse, femme qui jongle avec mille pensées à la minute, je n’arrive jamais vraiment en vacances avec un esprit apaisé.Avant de partir, je cours pour tout boucler : travail, enfants, valises, maison… persuadée que quand tout sera réglé, je pourrai souffler.Sauf qu’une fois arrivée, mon cerveau est encore en mode “organisation, anticipation,  contrôle”.

Un organisateur personnel

Les premiers jours : apprivoiser le ralentissement

Il m’a fallu du temps pour accepter de ne rien faire.Pour m’asseoir sans penser à ma to-do list.Pour arrêter d’anticiper la rentrée ou ressasser ce que j’ai oublié.

Ce brouhaha intérieur, c’était surtout la peur : peur de relâcher, de perdre le contrôle, de prendre du temps pour moi… comme si cela allait mettre en danger tout l’équilibre pro/perso.

Le temps qu’il faut… pour ralentir

C’est seulement après quelques jours que la différence s’est fait sentir : je savourais les petits moments, je lâchais prise avec mes enfants, même si ma petite voix me rappelait que “le sable va tout salir” ou “on n’aura pas le temps de tout faire”.

J’ai appris à dire : Ce n’est pas grave.À contrer l’habitude du timing serré, des courses contre la montre, des plannings ric-rac.

Les tensions se sont apaisées, pas totalement, mais assez pour que la légèreté revienne.

une femme libre face au soleil

Ce que j’emporte avec moi pour la suite

Cet été m’a montré que je pouvais ralentir… si je m’en donnais la permission.Et que ce n’était pas réservé aux vacances.

Pour la suite, je garde :

• Le droit de ralentir, même en pleine journée chargée.

• Des micro-pauses pour respirer et apaiser mon esprit.

• La simplicité des petits moments : écouter, observer, rire.

• L’écoute de mon corps et un rendez-vous bien-être par mois, bloqué dans mon agenda.

• ½ journée de “rien” quand j’en ressens le besoin.

• La douceur envers moi-même, même les jours où c’est difficile

• La conscience que je peux choisir mon rythme


Pourquoi c’est important

Parce que sinon, je fonctionne en mode automatique… jusqu’à m’oublier.Parce qu’en ralentissant, je suis plus présente pour mes enfants, plus créative dans mon travail, plus apaisée dans ma vie.

Ce que je veux transmettre, ce n’est pas la performance… mais la présence.

On a toujours le choix. Alors faisons le choix de ralentir, de garder un petit bout d’été avec nous, toute l’année.


Céline, experte au sein de BonHer

Retrouve mes accompagnements directement sur l’application 💛



2 commentaires


Nina Lahaeye
Nina Lahaeye
21 août

En tant qu'entrepreneuse, il m'est extrêmement difficile de déconnecter. La peur de passer à côté d'une opportunité, le fait de rester toujours joignable par message pour mes clientes, l'anticipation des prochains jours de taf, des prochaines semaines, des prochains mois, la peur d'échouer ... Cet article m'apporte une certaine sérénité en me montrant qu'il est possible de ralentir et que mon monde ne s'écroulera pas si je le fais 💜 Alors merci beaucoup !

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Membre inconnu
01 oct.
En réponse à

merci à toi Nina, Ralentir c'est aussi performer 😉

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